Juillet/Août 2020 - Vuelta Iberica, plexi, tableau et planeur

9 juillet.
Courrier des Peudunord.
 
Coucou les Peudusud, 
  J'espère que tout va bien chez vous.  On ne vole pas beaucoup en ce moment mais on s'amuse quand même.
  Avec Thierry nous avons récemment mesuré la traction statique de l'hélice du Skyranger en fonction du régime N.
  Une manip simple avec un dynamomètre à trois balles acheté sur internet, qui confirme la loi attendue à savoir une traction T proportionnelle au carré du régime N . T est aussi proportionnelle à la densité de l'air ambiant ( Au Versoud, ce jour là, les conditions étaient alt 1013 = 480 ft et tempé 22°C ce qui implique une densité  réduite de 3,5% par rapport aux conditions 0 ft,15°C).
  Prochaine manip à l'Alpe  d'Huez ( 6000Ft) un jour de canicule avec une densité nettement diminuée?
  Bon quand est ce qu'on vole?

De moi.

 Très intéressant. On peut avoir des détails de l’installation, même des photos ?
 Le jojo n’est pas encore prêt à voler. Je vais laisser le père avancer pendant que je prends du bon temps en Espagne à partir de samedi prochain ?. E-props nous finalise notre hélice. Tout va tomber en même temps ?. 
 J’ai repris le boulot doucement aujourd’hui (le 7), une séance de simu covid de ré-entraînement, et j’ai un début de planning pour le 22 juillet. Pas volé depuis le 13 mars. 

De Papa.

 Je suggère comme prochaine étape une vérification de l’hypothèse accélération constante au décollage.

De Thierry.

  Le dispositif n'a pas fait l'objet de photo (Car dépose de brevet en cours ?)
 Une corde de 30m,
 Une extrémité attachée à la jambe de train droite, l'autre extrémité idem à gauche et le centre passant via un mousqueton relié à un dynamomètre, lui même attaché au crochet de ma voiture.
(qui n'a pas bougé - mais je ne ferais pas comme ça avec un A330 ?)

De Jean Claude.
 Je vois que Thierry a été plus rapide que moi pour répondre à Fred. Rien à ajouter .
  En réponse au frangin, il y a longtemps qu'on  souhaite pouvoir mesurer l'accélération instantanée pendant le roulement au  décollage . Cela  reste pour le moment un projet. Les suggestions concrètes sont les bienvenues . 
 On peut mesurer l'accélération  moyenne a à la masse M ( vitesse sol de décollage divisée par le temps mis pour l'atteindre )  et la comparer à l'accélération initiale c'est à dire la traction T mesurée en statique divisée par M pour avoir une idée de la variation de l'accélération au cours de la prise de vitesse  .  La traction statique en régime plein gaz ( 5400 t/min) est de 137 kg force ( extrapolée car cette force dépasse  la portée de notre dynamomètre - 100 kgforce). A la masse de 475 Kg ça donne une accélération initiale de 0,29 g soit 2,9 m/s^2. Il nous faut refaire une mesure de notre accélération moyenne car la valeur  dont nous disposons ( 2,2 m/s^2) a été faite avec une autre hélice.


De moi.
 Je suggère d’utiliser votre dynamomètre dans sa plage de mesure en faisant un diviseur de traction par 2 avec une poulie , ça pourrait éviter une extrapolation hasardeuse.
 On va suivre ces essais avec attention !
 Le calcul de vérification de l’accélération constante selon le protocole décrit par Jean Claude me semble tout à fait approprié si l’écart constaté est faible entre accélération initiale et l’accélération moyenne. Dans le cas contraire, il faudra pondre une manipe.
 Je constate que le feu sacré des expérimentations foireuses se rallume à nouveau chez les Peudunord. J’en suis ravi ? 

De Thierry.
  J'ai proposé au Chef des mesures cette possibilité de mouflage.
Mais la qualité des mesures et leur respect de la loi ne la rendait pas nécessaire.


10 juillet.
Tableau de bord.
 Déplacement au hangar avec le père ce matin pour ramener le moteur sur place. C'est chose faite, Papa en a profité pour faire un essayage du tableau pour confirmer que certaines interférences n'existent plus. L'horizon de droite ne passait pas en profondeur et touchait la structure en bois. En fixant cet instrument par devant, ça ne touche plus derrière. C'est moins joli, mais pas plus que l'Extrem à gauche qui lui ne peut pas être monté autrement. Il y a donc une certaine homogénéité dont on se contentera.
  

La Vuelta Ibérica.
 Je prends la route demain vers Carcassonne pour rejoindre le départ de notre envolée ibérique. Je ferai équipage avec Paul sur son Jojo F-PMAC, avec lequel il a participé l'année dernière. Il a eu pas mal de problèmes techniques avec cet avion nouvellement acquis, mais un gros travail a été entrepris depuis et tout devrait bien se passer à présent.
 
 Je répondrai au commentaires récents à mon retour si vous le voulez bien.
A plus.


4 aout.
La reprise du boulot.
 Désolé pour le temps mort, et beaucoup de choses à raconter.
 Tout d'abord j'ai repris le boulot, un peu stressant au début, on a beau dire que c'est comme le vélo, j'ai abordé cette reprise avec précautions. Donc en premier lieu, un petit retour au simulateur pour remettre en place les automatismes, puis un vol en supervision avec instructeur, en l’occurrence un aller/retour sur Tunis. J'ai ensuite fait un vol sur Saint Martin puis Cotonou. Ça fait un bien fou de reprendre les vols avec à chaque fois une cabine presque pleine. Le truc nouveau, c'est que ça cause pas beaucoup sur les fréquences et qu'il y a beaucoup de terrains internationaux fermés, l'environnement a changé.

Travaux Speedjojo.
 Mais revenons au sujet de ce blog, et tachons de faire le point.
 Papa avance toujours sur le tableau de bord, mais a un rythme de sénateur car il doit faire face à d'autres obligations estivales en parallèle.
 Mes extensions de volets sont enfin terminées, il faut maintenant les installer.
 J'ai avancé sur les panneaux de plexiglas et notamment sur le choix de la technique d'installation. Ça sera collé, ayant eu les réponses à mes questions. J'utiliserai la colle Sicaflex bien connue des marins, on peut coller directement sur les tubes de porte. J'ai prédécoupé le panoramique arrière droit, je dois faire une présentation sur l'avion samedi prochain. Cette technique impose de changer les joints de portes qui étaient préalablement pris en sandwich entre tube et plexi. Là, il faudra les coller à la colle néoprène sur les tubes. Il faut donc que je recherche des joints au profil adéquat, je suis preneur de références si quelqu'un en a.

La Vuelta Ibérica.
 Encore une belle aventure que je m'en vais vous résumer.

 Le pré-rassemblement s'est fait à Carcassonne chez notre organisateur. J'avais fait le chemin en voiture la veille (quelle honte) et Paul, avec qui je faisais équipage est arrivé samedi 11/07 au matin. On a commencé avec Pierre Alexandre par faire des trous dans son avion pour installer la perche de camera 360° sous son œil inquiet.
 5 machines volantes ont participé à cette nouvelle envolée d'Espagne. Nous sommes parti à deux équipage de Carcassonne, Paul et moi sur D114, Jean Claude et Pierre Alexandre sur Husky pour rejoindre Roger et Philippe sur leur Tétras ainsi  que Charles et Daniel sur leur Husky à La Cerdanya, juste derrière la frontière espagnole. Christian et Alex sur leur Maule devaient nous rejoindre un jour plus tard à Santa Cilia de Jaca.
 La première étape s'est bien passée et nous avons décidé de faire une pose pour refueller à La Llagonne. Pendant le stop, une inspection de routine nous a fait découvrir que la patte de support d'alternateur du D114 était cassée. Nous avons alors recherché un soudeur pour réparer. Cela a pris un peu de temps et un gros orage en a profité pour s'installer sur le terrain, inondant complètement la piste et la rendant impraticable pour repartir. Le Husky qui nous accompagnait, parti avant l'orage, a pu rejoindre le reste de l'équipe à la Cerdanya située à 10 mn de vol de l'autre coté de la frontière. Ils ont laissé passer l'orage, puis ont rejoint Castejon de Sos, escale programmée pour passer la nuit.
 Avec Paul, nous avons trouvé un hébergement à Mont Louis et avons échafaudé un plan pour le lendemain.
 
La Llagonne

La Cerdanya


Castejon de Sos

  Le lendemain, le terrain de La Llagonne était encore bien détrempé et nous avons décidé que Paul tenterait un décollage seul à bord sans bagages et que je ferais le voyage vers la Cerda en taxi. Ce plan a été couronné de succès, puis nous sommes reparti à la poursuite des autres. Une petite étape par Coscojuela, puis nous sommes arrivé à Santa Cilia de Jaca pour le déjeuner avec les autres.

 Nous n'étions pas au bout de nos surprises, car au moment de refaire le plein, en accrochant la pince de masse à l'échappement, nous nous sommes rendu compte que le pot d'échappement était tout criqué et menaçait de perdre un morceau.

 Nous avons recherché, grâce aux locaux, un soudeur qui est arrivé dans l'après midi et qui a pu faire des miracles avec son TIG. Entre temps, l'équipe est repartie vers l'étape du soir, Siguenza.

 Avec Paul, nous décidons une fois de plus de passer la nuit sur place et de finir le remontage le lendemain matin. Je sens bien chez Paul que le cœur n'y est plus, il est en crise de confiance avec sa machine. Il décide de ramener l'avion chez lui avant d'en être trop éloigné.

Christian et Alex, qui devaient nous rejoindre avec le Maule et qui ont eu vent de l'affaire, m'ont proposé de me récupérer à Jaca pour poursuivre l'Envolée avec eux.

 Merci à eux. Paul repartait donc chez lui au matin et j'attendais patiemment l'arrivée de mes sauveurs dans l'après midi.

 Aussitôt arrivés, pleins effectués, nous repartions plein sud à la poursuite de l'équipe qui était déjà arrivée à Requena près de Valence. 

 Malheureusement, le sort s'acharnait car une zone orageuse nous a fait rebrousser chemin à 5 mn de la destination et nous avons dégagé à Sotos où nous avons passé la nuit.

 Sotos

 Le lendemain nous avons enfin rejoint le reste de l'équipe à Requena.

Teruel, aéroport de stockage d'avions de ligne, car il y a de la place et il fait sec.
Requena

Nous resterons ensuite 2 jours à Castellon LECN comme camp de base, ce qui nous a permis une expérience inoubliable pour moi, atterrir au milieu des rizières dans le delta de l'Ebre, sur une piste qui fait à peine l'envergure de l'avion en largeur et de l'eau des deux cotés.

 

Installation de la perche camera sur le Husky de Jean Claude, sans faire de trous! J'ai trouvé un gars des services généraux de l'hotel du golf de Castellon où nous logions, qui a pu me percer un trou dans mon support pour avoir le bon écartement et utiliser les vis qui tiennent le saumon du Husky.


 
 Le retour sera plus classique et sans plus d'incidents. Je garde un souvenir ému de notre visite sur le terrain au milieu des rizières, il n'est pas référencé et sert pour l’épandage agricole. Le gestionnaire est connu de notre organisateur depuis de longues années, ce qui nous a permis de s'y poser, rare privilège. Il nous faut absolument y revenir en Speedjojo.
 Je ramène, comme l'année dernière, des gigaoctets de vidéo qui vont m'occuper cet hiver. Vous allez en bouffer de l'Espagne !

 Merci Jean Claude pour ces moments de bonheur aéronautique !
Merci à Paul et Christian qui m'ont tour à tour offert un siège dans leur avion.
 

9 aout.
Travaux.
 Réunion au hangar hier avec le père. J'ai fait un premier essayage du plexi panoramique arrière droit, ça va pas mal, puis j'ai recoupé aux cotes exactes dans l'après midi. Je mets en place un protocole de pose avec la colle Sikaflex. Je vais ajouter de petites cales d'épaisseur (1 mm) qui seront noyées dans la colle de façon à avoir une épaisseur de colle constante entre plexi et structure bois. L'idée est de pouvoir absorber les variations de dilatation du plexiglass qui sont assez importantes. Je pense me lancer dans les jours qui viennent, j'ai quelques congés.

11 aout.
Travaux Jojo.
 Je suis allé bosser sur l'avion ce matin. Au programme, dépolir les surfaces à coller, poser des masques de protection pour que la colle ne salisse pas, puis montage à blanc. Pour tenir le plexi sur la structure bois, j'ai prévu des clous passés au travers de bouchons de liège, pour plaquer le plexi. Les clous ne seront pas plantés dans le plexi bien sûr, mais dans le bois en bordure du panneau. Je les enlèverai ensuite quand ça sera sec.
 Coté arceau, j'ai placé des boucles en fil de fer autour de l'arceau, tous les 10 cm. De cette façon je laisse un espace d'environ 1 mm entre plexi et arceau pour avoir une épaisseur de colle, ce qui devrait permettre au plexi de pouvoir se dilater grâce à la souplesse de la colle une fois sèche. les pinces sont placées au niveau de chaque boucle de façon à avoir un espace constant entre plexi et arceau. Le montage à blanc était nickel, y'a plus qu'à se lancer, mais j'ai un peu le trac.
 
 De son coté, papa était en peinture. Je vais donc voir revenir la porte pour lui coller son plexi.

 Le tableau complet est passé en peinture polyester, je vais donc également voir venir le tableau bas droit sur lequel il y aura un ajout de quelques couleurs comme indiqué ci-dessous. Comme c'est moi qui le voulais, c'est moi qui le fait!
 
 Petite retouche de gris également sur le capot moteur. Maintenant que le Speedjojo est une star, il est un peu maniaque sur sa tenue de scène.





 J'ai trouvé des petites bombes de peinture pour modèles réduits, mais je sens que je vais m'amuser à faire les masques. Ensuite Papa mettra les sérigraphies puis une couche finale de vernis.
 
13 aout.
Travaux suite.
 Hier je suis allé au hangar de bon heure, avant qu'il ne fasse trop chaud, pour coller du plexi.
 
 Sur cette vue, j'ai collé préalablement de petites cales d'épaisseur (rondelles) pour avoir un film de colle épais. Le Sicaflex 295 UV est une colle qu'on utilise en marine avec des épaisseurs importantes qui vont permettre d'absorber les dilatations différentes du support et du plexi.
 Résistance à la rupture en traction; 1,1 N/mm2, allongement à la rupture  >300%
 C'est une colle polyuréthanne monocomposant qui polymérise grâce à l'humidité ambiante.  
 
 Ensuite j'ai planté quelques clous pour faire des espaces entre le plexi et les congés en composite qui sont collés de longue date au fuselage.

 Un peu de stress quand on met la colle, mais tout s'est bien déroulé. Mes bouchons traversés d'un clou ont été super utiles pour bien plaquer le plexi et faire dégueuler juste ce qu'il faut. 
 
 
 
 
 
 
 
 Pour finir, j'ai ensuite posé les pinces sur l'arceau. La colle étant noire, on voit parfaitement la présence éventuelle de bulles à travers le plexi qu'on peut alors faire disparaitre par simple pression.

 J'ai laissé prendre la colle puis je suis revenu dans l'après midi pour retirer les ligatures en fil de fer sur les arceaux. Très simple, un coup de pince coupante puis on tire.
 J'ai alors fait les congés intérieurs et extérieurs, puis retiré les scotch de masquage avant que ça sèche.
 Notez le joli fini sur l'arceau, avec une surface bien plate de largeur exploitable de 13 mm sur laquelle je pourrai coller le joint de porte.
 
 Donc au final, pas de problème de mise en œuvre du collage, il faut juste très bien préparer l'affaire, vérifier, revérifier tout. La colle est très collante, comme le silicone, il faut prendre son temps pour ne pas s'en mettre partout, et du temps, on en a suffisamment. La colle se nettoie au white spirit si besoin, colle fraiche uniquement, sinon ça sera moyens mécaniques. Outil très utile, une carte plastique type carte bleue pour tous les congés extérieurs. Du Sopalin pour essuyer cette carte et ses doigts !
 Pour les congés internes, en arrondis, j'ai pas trouvé mieux que le doigt mouillé !

 
 Tableau de bord.
 
  Ce matin je me suis mis en peinture en commençant par les masques. J'ai couvert les panneaux de scotch de peintre, dessiné les motifs, puis coupé ces derniers au scalpel. J'ai utilisé des pièces de monnaie comme patrons de découpe, de l'artisanat quoi.
 
 
 
 
 
 
 
 
 Ensuite j'ai utilisé des petites bombes de peinture maquettes Tamiya à séchage ultra rapide.

 Voici le résultat, pas parfait, mais pas mal quand même pour mon niveau.

 Je livre au père qui va s'occuper des sérigraphies et du vernis final.

 

 

 

 



23 aout.

Stage planeur à Challes. 

 Je rentre tout juste d'une semaine en stage planeur à Challes-Les-Eaux avec les garçons. C'était assez génial, mes deux garçons sont lâchés solo et bien partis pour le brevet planeur.

 Pour ma part, je ne vise pas forcément le brevet, car ça demande beaucoup de disponibilité que je n'ai pas pour le moment, je souhaitais juste partager ça avec Julien et Nicolas et acquérir un peu d’expérience sur ces autres utilisateurs de l'espace aérien en montagne.

 Ce que j'ai pu toucher du doigt, c'est l’extrême proximité du vol avec le relief, et également l’extrême proximité des planeurs entre eux en vol de pente, mais surtout dans les pompes. J'ai ainsi pu voir de multiples alarmes FLARM entre planeurs, mais aussi les alarmes de proximité de lignes électriques. Une alarme n'est utile que si l'on sait comment là traiter, ce qui ne peut se faire qu'avec un peu d'entrainement. On doit lire en premier lieu le display, en identifiant si l'intrus est haut, bas ou à un niveau voisin, puis lire le gisement avant de le rechercher visuellement. Le risque, si on ne fait pas ça, c'est de considérer à tord le premier planeur en vue comme l'intrus. Donc le traitement de ces alarmes doit se faire avec une certaine rigueur, idéalement en annonçant ce qu'on lit sur le display et identifier formellement l'intrus ensuite.

 Ce dispositif équipe notre Speedjojo depuis quelques années déjà, mais je ne l'avais entendu sonné qu'une fois. Clairement, pour des utilisateurs comme nous peu entrainés, il faut se donner du temps et régler les plages de détection du FLARM de façon très larges.

 

 

 

 

 

Nouvelles du tableau.

 Le père qui a retrouvé un peu de disponibilité après ses obligations estivales avance bien et nous envoie quelques photos.

 Sur cette première, on voit les labels fraichement posés ainsi que les prises USB et allume cigare.


 Sur cette deuxième, les cartes du trim de direction et du panneau central d'alarmes qui prendront place dans la console centrale.

 

 Sur cette dernière, la face avant de la console centrale avec, de haut en bas, le panneau qui rassemble les alarmes des différents modules et les potentiomètres de réglage du volume des alarmes, le potentiomètre de réglage du trim de direction, l'interphone de bord, et le module de contrôle de la batterie secours dérackable avec son afficheur et le sélecteur courant/tension de l'afficheur.

Le trou du bas avec l'anneau caoutchouc laisse passer la commande manuelle des freins.



31 aout.

Tableau.

 Papa a fabriqué un support pour pouvoir faire tout à son aise les câblages. Petite perte de temps initiale, mais qui va lui en faire gagner beaucoup par la suite.






10 commentaires:

  1. Bonjour et toujours bravo,

    accélérométre: il est possible d'utiliser les accéléromètres des tablettes ou des téléphones, choisir l'application qui convient.
    Bons essais.

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    1. Merci, on va explorer cette possibilité, dès que l’avion revole...

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  2. Je ne voudrais pas avoir l'impression de perturber, mais pour diviser par 2 l'effort, il me semble que c'est 2 poulies et non une qu'il faut .... En tout cas c'est une manip intéressante. D'autant que je comptais faire quelque chose comme çà avant le premier vol de mon Mouss cet automne. L'ordre de grandeur est intéressant.
    Je me suis aussi posé la question pour l'utilisation d'un accéléromètre ou d'un autre outillage, mais je pense que c'est plus compliqué que çà. Il faut être sûr que le capteur est dans le bon axe par exemple. De plus, il y a d'autres perturbations telles que l'état précis de la piste (par exemple : une bosse même minime doit perturber l'accélération instantanée, donc pour une manip valable il faudrait enregistrer en continue l'accélération et la comparer avec l'état de la piste à l'endroit précis ). Il me semble que la manip prévue à partir de la traction initiale et l'accélération moyenne doit suffire à valider une hélice ou les calculs de performances lors de la mécanique d'envol.

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  3. Pour tes chemins de couleur, masque l'ensemble et tu fraises ou graves au laser le scotch où tu veux peindre. Tu gicles la couleur que tu veux et tu enlèves tes masques. Bonne chance!

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    1. Merci du conseil, j'ai respecté le principe, mais tu me parles de moyens que je n'ai pas, ça sera donc plus artisanal ;)

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  4. Bonjour
    Il y a déjà un accéléromètre dans le capteur SP7 de MGL...
    La précision n'est peut-être pas la bonne, qu'importe, à toutes fins utiles.
    Bravo et bons vols

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  5. salut pas con le coup de la piece de monnaie j'y avais jamais pensé

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  6. avec un pote qui a une fraiseuse numerique artisanale je vais essayé de faire les "placars" dont jai besoin dans le bébé pour les contacts le trim l'immat et l'indicatif radio

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